Jean Giono – un désir monstre au-delà de toutes les transgressions, essai aux éditions Jacques-Marie LaffontJean Giono – Un désir monstre au-delà de toutes les transgressions : Cet ouvrage est issu de ma deuxième thèse de doctorat sur GIONO sous la direction de Julia Kristeva. C’est devenu un livre grâce à Julia Kristeva et à mon éditeur Jacques-Marie Laffont ainsi qu’aux dirigeants du Groupe LDL, Guillaume Dumoulin et Gauthier Dupont, deux jeunes éditeurs très novateurs avec lesquels Jacques-Marie Laffont s’est associé. En quoi mon essai est-il très différent de tout ce qui a été publié sur Jean Giono ? De nombreux livres explorent le Giono romancier exceptionnel sur le registre de l’agro-pastoral, voire même le Giono « écologiste » avant l’heure. De très nombreux ouvrages parlent également du Giono « pacifiste », ce qui lui a causé bon nombre de […]
Le grand troupeau, coffret double CD de lecture musicale de larges extraits du roman : Le grand troupeau de Jean GionoCe projet autour du grand troupeau de Jean Giono a consité à produire un coffret de 2 CD de lecture musicale offrant une expérience immersive et poétique aux auditeurs et au public. Il permet de souligner les émotions, les ambiances et les rythmes du texte, en créant une véritable symbiose entre la parole et la musique. Christine Bretonnier-Andreani lit des extraits de l’œuvre. Les extraits sont empruntés aux différents chapitres du roman de façon à construire une logique narrative autour de la notion de guerre totale : guerre au front, celle des hommes et guerre à l’arrière, celle des femmes, des vieux et des enfants. Le compositeur Christophe Alzetto accompagne musicalement le texte lu et conçu par Christine Bretonnier-Andreani. Ce qu’en dit Christine […]
Giono et la Corse: Jean Giono, écrivain de la Corse malgré lui, aux éditions MAIA – Christine Bretonnier-Andreani écrit : « Comment les lieux forgent-ils les cœurs, les passions et les caractères ? Après Nietzsche qui inaugura la série (Nietzsche et la Corse, Thierry Ottaviani aux éditions Maïa), parler de Giono et la Corse tient du paradoxe car il est attesté que Giono n’a jamais mis le pied en Corse. »Christine Bretonnier-Andreani écrit : « Comment les lieux forgent-ils les cœurs, les passions et les caractères ? Après Nietzsche qui inaugura la série (Nietzsche et la Corse, Thierry Ottaviani aux éditions Maïa), parler de Giono et la Corse tient du paradoxe car il est attesté que Giono n’a jamais mis le pied en Corse. » Comme le déclare Jean-Guy Talamoni dans la préface de cet ouvrage : « L’ouvrage a quelque chose d’une histoire de famille, y compris pour le rédacteur de ces lignes. […] Une histoire de famille, au singulier, donc. Mais également une histoire de familles. Celles des Valery et des Jason. Elles n’appartiennent pas au même monde puisque la première est réelle et la seconde de l’ordre de la fiction. De surcroît, une mer les sépare, des terres aussi. Et pourtant, […]
écho et contrepoint, receuil de poésies aux éditions MAIA coécrit par Christine Bretonnier-Andreani et Stéphane MartyCe qu’en dit Marie-Anne Arnaud-Toulouse dans le préambule « J’ai aimé le petit air de cousinage avec Villon, avec Rimbaud, qui passe dans des échos de mots ou de rythme, sans jamais s’imposer autrement que par des «airs», justement. Mais j’étais désolée de cette misère, ce dénuement, cet abandon qu’ils fredonnent souvent et clament parfois, ceux de l’existence journalière et ceux du destin. Et c’est sans doute ce que veut ce recueil, qu’on soit sans cesse désolé-consolé-désolé. Car je suis d’ordinaire une lectrice assez docile. » Dans le préambule de ce receeuil de poésies à deux mains, Marie-Anne Arnaud-Toulouse écrit : « C’est une belle idée que ces poèmes jumeaux, si différents de ton, une vraie conversation pourtant, mais plus parallèle que croisée. D’un côté les jeux avec les […]
Quasi / Modo – Extra / Modum, Du minus à l’ogre dans les récits de Giono. Préface de Sylvie Vignes. éditions MAIA
Le combat avec l’Ange – figures du désir dans les récits de Giono, éditions MAIAPar la magie de l’art, ricanements amers et gémissements acerbes font place au sourire de l’humour. Chacun peut dire sa souffrance à condition d’y mettre les formes, à condition de choisir « la forme ». Choisir la légèreté et le détachement plutôt que l’enlisement dans le drame de l’existence, même en face de la mort, la mort de soi, et celle des autres. […] Ce travail d’orfèvre auquel se livre Giono constitue bien le seul véritable remède à sa mélancolie. L’expression, tant que l’on s’en tient aux diverses modalités du « soupir » ne peut apporter qu’un soulagement précaire. C’est bien la mise en scène de la souffrance qui peut le mettre sur la voie de la guérison. Il faut que le malheur ressenti devienne objet à décrire, à représenter. Toute vie s’« achève » sans être achevée. Dans les […]